L’Algerie notre paradis, ses décideurs responsables de cette ripoux-blique Algérienne démoniaque et pas populaire… Notre enfer de Algérian speaker

Je découvre avec stupéfaction plusieurs mois aprés le slogan des élections législatives Algériennes actuelles : notre printemps, c’est l’Algérie. Gloup ! Mais ils oublient de rappeler qu’avec eux c’est l’enfer surtout. Quand on voit certaines postures qu’adoptent sur les affiches des candidats aux législatives Algériennes on a de la peine à croire que c’est vraiment sérieux tant on les confondrait à des stars du rai ou autres. C'est tellement marrant et ridicule que j'ai pris celle d'un candidat de Relizane que j'utilise comme avatar de ma page facebook en me demandant s'il a été elu ou pas. L'impossible est tellement possible chez nous que...

Comme l’a chanté Lucio Dalla dans son texte « caro amico ti scrivo » où il adressait une lettre à un ami décédé pour lui raconter les péripéties de cette vie devenue tellement tumultueuse. L’idée m’est venue de faire de même en écrivant à titre posthume aux Présidents Ferhat Abbas et Mohamed Boudiaf (Rabi yerhamhoum). Sans oublier nos chers disparus tels Tahar Djaout, Said Mokbel, Docteur Boucebci, Alloula, Kateb Yacine, Djilali Liabes, Issiakhem, Abane Ramdane, Amirouche, Asselah, Dr Belkhenchir, Hachani et bien d’autres encore emportés par la guerre d’indépendance, la jalousie, les années noires du terrorisme, la maladie ou tout simplement le poids de l’âge connus ou inconnus à qui le devenir de l’Algérie importait énormément. L’Algérie, cette terre qu’ils chérissaient tant et pour laquelle ils souhaitaient le meilleur. Au Président Mohamed Boudiaf, je dis : vous qui êtes revenu dans votre pays suite à l’appel de personnes qui cherchaient juste un faire valoir pour continuer à légitimer leur règne vous vous étiez vite rendu compte que vous aviez atterrit dans un panier à crabes ! Qu’importe vous vous êtes dit, après tout le peuple, les jeunes sont avec moi. Le résultat est qu’ils vous ont assassiné lors d’un meeting en direct sur « l’unique » sous les yeux de ce peuple qui était censé vous protéger mais qui hélas n’on avait pas la possibilité et du monde entier. Ce « pouvoir maffieux » illégitime a essayé de mettre ce fait ô combien lâche sur le dos des islamistes. C’est ceux la même qui vous ont ramené qui vous ont assassiné au nom d’intérêts occultes auxquels ils sont sans doutes mêlés. Derrière hadj bettou il y avait des décideurs très bien introduits au sein des différents gouvernements fantoches ou l’homme devient juste un outil exécutif de sales besognes comme par exemple… Tuer ou en donner l’ordre ! Les membres de la commission que vous avez envoyée en France pour enquêter sur différentes affaires illégales sont tous morts comme par hasard de mains de « terroristes islamistes », comme le terrorisme avait bon dos en ces temps là. Sinon depuis que vous avez disparu, rien de neuf à part que boutef est revenu aux « affaires » et s’accroche au pouvoir comme un forcené, qu’il y a plus d’argent vu l’envolée des prix du brent. L’Algérie dispose (peut être) de 200 milliards de dollars de réserves mais n’en fait quasiment rien sauf se l’accaparer en partie à des fins personnelles. La dette a été remboursé (encore heureux) grâce à nos ressources naturelles. Le métro qui enfin a vu le jour cela fait 2 mois après 30 ans de disettes, le tram réhabilité, la fameuse autoroute est ouest qui traverse le parc naturel d’El Kala et ses merveilles pourtant sous l’égide de l’Unesco se targue d’être l’autoroute la plus chère au monde. Tout le monde trouve cela « noourrmal ! » et reste impassible devant ce gâchis monumental fait de rapines, de roublardise, de mensonges et de sabotage. Je me demande si Boukrouh le Benabiste du parti du renouveau Algérien s’était trompé en qualifiant de « râachi » (foule) le peuple Algérien tout comme Said Saadi du RCD (rassemblement pour la culture et la démocratie) en disant qu’il c’était sans doute trompé de peuple en s’adressant aux Algériens n’avaient sans doutes pas tout à fait tort. La clinique oranaise qui a osé prélever un rein à une dame sans son consentement, est ce un acte déontologique ? Est-ce la première fois que de pareils agissements ont lieu ? Pourtant c’est bien une équipe médicale qui a procédé à l’ablation de l’organe en toute conscience. Ce râachi (peuple) a fini par légitimé le pot de vin (la rechwa) en affirmant que même le prophète le percevait en le nommant hâdiya (cadeau), ou sont les limites à ne pas dépasser ? Je crains qu’il n’y en ait pas, désormais rien ne résiste au profit. Vos seules erreurs ont été de regrouper les islamistes dans des camps dans le sud Algérien leur donnant ainsi une occasion inespérée de s’organiser et de comploter en toute quiétude. La deuxième a été de faire confiance aux personnes qui vous ont ramené au pays pour vous assassiner car vous connaissant, ils savaient bien que vous étiez loin d’être un vulgaire mouton de panurges. Rabi yerahmek ou wessâa allik.

Au Président Ferhat Abbas je dirai en toute honnêteté qu’avec vous, on a raté un rendez vous avec l’histoire. Vous saviez qu’on n’était pas aptes à gérer ce pays sinon qu’on l’aurait fait très mal pour cela vous avez opté pour l’autodétermination et non la révolution par les armes tout comme Abane Ramdane l’architecte de la révolution Algérienne qui était beaucoup plus pour une issue politique et non à un conflit armé comme le préconisait houari boumediene entre autres. Vous savez que votre livre « l’indépendance confisquée » pour lequel vous avez été placé en résidence surveillée des années durant se vend à présent en toute liberté dans les rares librairies d’Algérie sans qu’il y ai mort d’hommes. Toutes ces années, privé de liberté auront-elles servies à quelque chose ? Sauf à vous faire taire afin de ne pas dénoncer leurs plans machiavéliques, je ne vois pas d’autres raisons. Votre analyse de la situation pour l’Algérie était très bonne mais ne tenait pas compte de la mentalité colonialiste de la France qui n’a pas évolué depuis l’école indigène. Dans l’armée les bataillons présentant des Arabes étaient nommés ainsi : des Français de souche Nord Africaine (FSNA). Comment favoriser l’intégration ainsi ? Au moment où j’écris ces lignes, on assiste à la défaite de Nicolas Sarkozy (droite) et à la victoire de la gauche Française avec François Hollande mais je suis persuadé qu’absolument rien ne changera en France tant que beaucoup de Français continueront à stigmatiser les musulmans pour noyer leurs faiblesses socio-économiques et chercher à conquérir les voix de l’extrême droite xénophobe. Je tiens à rappeler à tous que les extrémismes de tout bord ne peuvent être que dangereux. Quand beaucoup de Français s’arrêteront de voir en nous des êtres de seconde zone surtout quand elle n’est pas chrétienne on n’avancera point et feront du sur place et dire qu’on est dans un état laïque ou le slogan est liberté, égalité, fraternité. Ce n’est pas parceque nos grand parents, nos parents sont venus en France comme immigrés économiques à un moment ou on avait besoin d’eux et que beaucoup de Français refusaient certaines professions car les trouvant pénibles et réductrices que leurs descendances devraient faire de même. Ce n’est pas comme cela que ca marche. Peut-on parler d’intégration quand sa politique est réactionnaire ? Ou quand on parle de nous seulement quand il y a des histoires d’insécurité, d’identité, de halal ou autre ? Le problème de la France n’est pas l’islam ni les musulmans mais il passe surtout par l’intégration réelle d’une frange de sa société Franco musulmane. Malgré ses différences religieuses, vestimentaires, elle est Française bien que ses ancêtres ne soient pas des Gaulois.

Je tiens à rappeler aux Français réactionnaires, à ceux de l’extrême droite surtout un évènement majeur dans la vie politique Française qu’on a tendance à occulter hélas. En 1894 un certain Docteur Philippe Grenier de Pontarlier dans le Doubs se convertit à l’islam après avoir étudié le coran. Choqué par la manière dont la France maintenait les Algériens musulmans dans la misère et des injustices sociales de l'époque coloniale, il se rendit à La Mecque à 29 ans et adopta la tenue traditionnelle des musulmans algériens : gandoura portée sous un burnous. Il se fit élire conseiller municipal de sa ville et s'intéresse aux questions d'hygiène publique et d'aide aux nécessiteux grâce à son statut de médecin,. le docteur Grenier décide de tenter sa chance. Menant une campagne électorale modeste, il devient la risée de la presse qui se moque de ses « exubérances vestimentaires ». Malgré cela, et grâce à un discours convaincant, son programme social ambitieux pour l'époque lui permit de décrocher le sésame pour le Parlement au deuxième tour avec 51 % des voix après un coup de théâtre électoral, le 20 décembre 1896. Ce jour-là, il devint le premier député musulman de l'histoire de France. Élu du Doubs de 1896 à 1898 il est la curiosité de la presse de l'époque, très mal renseignée sur les us et coutumes musulmanes. La presse l'accuse tantôt de posséder un harem, tantôt d’embrasser le tapis de l'entrée de l'assemblée nationale ou encore de se laver continuellement les pieds. Je parle de l’année 1896 ! D’une personne dont le père était capitaine de cavalerie membre de l’état major de Napoléon III et dont la mère était fille de notaire donc des gens « comme il faut », un Français de souche Européenne pour reprendre leur expression "désintégratrice". Que faut-il pour que les mentalités changent ? Les médias ont leur part de responsabilité aussi ! Je constate que de 1896 à nos temps actuels peu de choses ont changé malheureusement. Qui se souvient de cet Algérien fils d’Ouled Djellal (Biskra) Ahmed Bouguerra El Ouafi qui a obtenu la première médaille d'or au marathon lors des jeux olympiques de 1928 à Stockholm (Suède) pour la France. Célébré en héros à l'époque, mort oublié de tous, clochard des années aprés. Il est enterré dans un anonymat absolu au carré musulman du cimetière de Bobigny, personne ne s'occupe de sa tombe. Pourtant il n'avait rien demandé à personne, mobilisé lors de la Première Guerre mondiale il essayait de survivre dans les tranchés, employé ensuite chez Renault Billancourt en qualité de balayeur, il finit par ramener à son pays d'alors la France la première médaille d'or olympique de son histoire en marathon avant de mourir dans l'anonymat et un dénuement total. Aujourd'hui même à Ouled Djellal, rares sont les gens qui ont entendu parler de lui. Repose en paix Berbère d'Algerie Allah yerahmek, il est vrai qu'il est dur de mourir dans l'anonymat et le dénuement total quand on a connu la gloire olympique. Repose en paix, ta gloire est éternelle mais malheureusement la bêtise humaine est infinie aussi comme l'avait souligné Monsieur Alfred Einstein.

Monsieur le président, à l’heure ou je vous écris on est à la veille de fêter nos 50 ans d’indépendance et rien n’a évolué dans les mentalités, encore moins les hommes. Malgré des liens étroits provoqués par notre histoire commune, notre ex statut de département Français avant la Savoie même ne nous confère aucun droit et sommes encore considérés comme des sous hommes juste bons à exécuter les ordres reçus de nos « maitres » ! Servir de chaire à canons ou bien sportifs de haut niveau là c’est bon on est Français sinon pour les autres… A voir ! Au suivant ! Vous avez même demandé à l’assemblée Française de vous écoutez ne serait ce que 10 minutes après des acquiescements de notre part qui ont duré un siècle, la dénonciation par René Vauthier dans son film « le sang de mai encensait déjà novembre » de la colonisation et son extrême rudesse barbare, la déportation des insurgés de Cheikh El Mokrani dans le pacifique (Nouvelle Calédonie) en 1873 et bien des faits encore que l’histoire ne manquera pas de nous dévoiler un jour (vivement 2022). Comme vous constatez, rien à changé. L’ordre des choses doit se poursuivre ainsi, le Français dans son rôle de maître sans avoir rien à prouver et nous dans notre rôle de bouffons du roi à la merci du maitre suivant son humeur et ce des générations durant. On ne réussira jamais à nous affranchir tant que le colonisateur restera réactionnaire et que l’ex colonisé servira de bouc émissaire à chaque élection pour contrer les desseins de l’extrême droite qui suscite les haines entre les peuples. Tant que subsistera cet état d’esprit de la part du colonisateur, le colonisé ne s’intégrera pas à un projet réducteur qui lui demande aussi d’asservir sa descendance qui se sent complètement Française et prête à adhérer aux lois de la république si on voulait d’elle et qui ne connaît et n’a pas d’autre pays que la France, que connaissent ils du pays de leurs parents ? Rien, leur seul pays c’est la France et s’ils s’en sentent rejetés plusieurs options s’offrent à eux : s’approprier le pays de leurs parents, marquer leur différence par la religion, par la langue alors que très souvent ils ne la parlent pas correctement enfin tous les moyens pour s’opposer au rejet de leur véritable pays qui n'en fini pas de les ignorer.

Comme vous le remarquait Monsieur le Président, les choses n’ont pas du tout évolué. Pour faire la paix il faudrait être au minimum deux, avoir beaucoup de bon sens et pour finir de la bonne volonté s’impose en plus du respect de l'autre. On demande seulement une égalité des chances, serait ce trop vous demander ?

A tous nos morts (Rabi yerhamhoum) je dirai vous nous manquez mais vous a-t-on seulement mérités ? Je ne pense pas.

Ce matin j'apprends la nomination d'un nouveau premier ministre Algérien en remplacement d'ahmed ouyahia. Ils se sont enfin débarassé de lui c'était prévisible, les grandes opérations du clan boutef peuvent commencer. Quelques acteurs changent avec l'entrée de nouveaux acteurs dans la ronde mais celle ci continue tout de même à tourner en feignant d'ignorer qu'on a mal à la tête à force de les voir tourner.

La construction de la Grande Mosquée d'un coût de 2 milliards de dollars équivaudrait à la construction de 100 000 logements soit 10 hôpitaux d’une dimension de centres hospitaliers universitaires ultra modernes ou 20 opéras, grands théâtres soit des écoles ou on s’entasse actuellement à plus de cinquante élèves par classe, des universités, des musées, des stations de dessalement des eaux en Algérie ou bien des complexes sportifs. A quoi cela pourrait servir d'avoir un minaret long de 270 mètres, 25 étages, une salle de prière d’une capacité de 120.000 fidèles, une bibliothèque de 2000 places dotée d’un million d’ouvrages, une salle de conférence, un musée d’art et d’Histoire islamiques et un centre de recherche historique qui déformera à coup sûr toute l’Histoire de l’Algérie ancestrale et contemporaine aussi , quand les problèmes sont ailleurs ? Ce projet gigantesque devrait créer 17.000 emplois dont 10.000 pour les Algériens (si les chinois nous le permettent). Je pense que le choix est vite fait entre avoir l'un de ces projets constructifs pour le citoyen et le pays ou une mosquée pour prier à la réalisation de ces projets vitaux et nécessaires à tous. On a fait de l'Algérie un tube digestif qui ne produit que des excréments et rien d'autre malheureusement, une "ripoux-blique démoniaque et privée". Je n'ai rien contre l'Islam ma religion dont je suis pratiquant mais il ne faut pas exagérer quand même ! Boutef, par la réalisation de ce projet veut se redorer le blason mais personne n'est dupe, surtout pas Dieu. Construire une mosquée avecl'argent du contribuable n'est rien d'autre qu'un abus de pouvoir. Si on avait procédé à un referendum pour demander l’avis de ce peuple « mineur » considéré par boutef comme la 5éme roue de la charrette et qui à leurs yeux ne sera ou à qu’on ne laissera jamais évoluer en paix. On m’a toujours appris que la construction d’une mosquée était une très bonne initiative pour celui qui pouvait le faire par ses propres deniers et non pas avec l’argent du contribuable qui de surcroit a le ventre vide, est âgé de 50 ans n’est pas encore marié et loge chez ses parents dans une 2 pièces à la cité d’urgence à El Harrach avec 5 de ses frères et sœurs tous majeurs, célibataires et dépassant la trentaine. Cette situation rocambolesque a était vécu par Rabah une connaissance à moi qui en plus avait deux enfants. L e comble c’est que l’histoire de Rabah ne s’arrête pas là, un jour ses parents lui signifièrent qu’ils devaient marier son frère cadet âgé de 45 ans et qu’il devait sa famille et lui quitter l’espace occupé dans le 2 pièces de ses parents. Je me rappelle que Rabah se présenta le lendemain au travail livide, abattu par l’ultimatum imposé par ses parents mais qu’il comprenait quand même. Il rencontra son directeur, lui raconta son problème et lui dit qu’il était prêt à aller n’importe ou faire n’importe quoi si l’entreprise nationale dont il dépendait pouvait assurer un gîte à sa famille, le directeur qui l’employait lui dit qu’il essaierait de voir mais que cela ne dépendait pas de lui. Dans l’après midi du même jour, son beau-frère ayant eu vent de l’affaire par la femme (la femme à Rabah) après concertation avec sa famille vint le voir pour lui faire la proposition suivante : ses parents étaient prêts à le recevoir par solidarité malgré la promiscuité qu’ils vivent déjà dans leur 3 pièces ou vivent 15 personnes. Rabah gêné commença par lui dire qu’il appréciait le geste de solidarité mais qu’il en était hors de question parceque connaissant le domicile et le nombre de personnes y habitant, il n’y avait pas de place pour un couple et 2 enfants en sus. Son beau-frère lui expliqua qu’il lui proposait un arrangement et non pas une pièce à sa famille et lui. Rabah comprit qu’il ne pouvait faire autrement que d’accepter la proposition de ses beaux-parents, qu’il ne pouvait surtout pas refuser la proposition de « solidarité » qu’il n’était pas en position de le faire ne serait-ce que pour ses enfants et sa femme. Il vit qu’il ne pouvait faire autrement que d’accepter la proposition de sa belle famille en mettant sa « rédjla » (fierté) de côté pour de « prochaines échéances ». Il comprit par les propos de son beau-frère que tout était déjà planifié et qu’il ne pouvait faire autrement que d’accepter l’offre généreuse d’hébergement. Ainsi fut-il, le lendemain il se retrouva chez ses beaux parents à loger chez eux dans… La cuisine qu’il partageait avec le plus jeune des beaux-frères célibataire âgé de 25 ans quand à sa femme et ses 2 enfants, ils partagèrent la chambre qu’occupait la belle mère avec ses belles sœurs célibataires elles aussi. L’histoire de Rabah n’est pas anodine, je connaissais une famille du quartier du clos Salambier à Alger qui logeait dans un appartement de 2 pièces à 17 personnes, 4 garçons mariés avec des enfants. Vous vous demandez comment ils faisaient ? Tout simplement ils s’arrangeaient en attendant des jours meilleurs, l’ainé de 51 ans qui avait un fourgon Renault de type J5 travaillait avec la journée et y logeait la nuit en compagnie de sa femme. Les 3 autres frères mariés avaient aménagé une petite guérite en dur sur le balcon et y dormaient à tour de rôle avec leur épouses chacun son tour, on ne peut faire mieux en terme de discrétion ! D'autres dormaient à tour de rôle suivant l'emploi du temps de chacun. Allez parler à ces gens d’une mosquée plus grande que celle de Mohamed VI avec un minaret de 270 mètres et vous apprécierez leur réponse ! Je proposerai à ces décideurs de s'unir pour la construction d'une mosquée plus grande que celle du Maroc avec la hauteur du minaret qu'ils veulent en ignorant les avis contraires des sismologues Algériens, dépolluer oued El Harrach mais avec l'argent qu'ils ont détourné à leur profit. Halte on n'en peut plus ! Investissez pour votre salut mais pas avec l'argent du contribuable faites le autrement vous en avez les moyens. Il s'agit de votre peuple, de grâce laissez le vivre chez lui en paix.